Des tas de questions, quelques réponses et un peu de mystère.



La sodomisation. L’acte sexuel anal

La pratique de la sodomie est loin d’être exceptionnelle.
Cet avis n’engage que moi mais il me semble que ça n’est certainement pas l’option sexuelle qui satisfait le mieux les deux partenaires.
Elle fait partie des fantasmes masculins, principalement inspirés des séquences pornos où les femmes feignent de trouver du plaisir à la chose.
Il y a en effet des récepteurs du plaisir sur la muqueuse anale mais il y a aussi des fibres musculaires qui, étirées brutalement, risquent de se déchirer. Elles forment le sphincter, garant de la continence, qu’il ne faut pas léser.
Par ailleurs, la muqueuse annale est fragile. Les processus de cicatrisation sont retardés par le passage des selles et la présence de la flore fécale, bactéries, champignons..
En clair, si le partenaire bouge violemment, aussi violemment que s’il était dans le vagin, le sphincter perdra un peu de sa force de clôture.
Preuve en est que les sodomies qui suivent sont plus faciles, le sphincter étant plus complaisant.
En plus, il y a ce risque de fissure.
Par contre, ceux qui se contentent de l’intromission simple, immobile, accompagnée de caresses vaginales ou clitoridiennes limitent les dégâts.
Docteur Albert Ohayon